Bêtes à cornes au fort !

Bonjour à tous,

je sais qu'il parait peut-être utopique de demander cela, mais sais t'on jamais !

Le 2 août 1914, le gouverneur du fort, demande de constituer un stock de viande fraîche pour les vingt jours, le suppléant du sous intendant des forts à Belfort, le commandant de l'infanterie et le service d'intendance du fort, communique qu'il a fait réquisitionné 62 bêtes à cornes rassemblées en parc dans le fort.

Il serait intéressant de savoir, si nos amis cultivateurs ou agriculteurs de la région se souviennent de quelque chose, voir possèdent des documents émanant de l'autorité militaire à ce sujet.

Bien à vous
Florian

En 2008 il y avait aussi un troupeau de bètes à cornes . Il y a peut-être un besoin pour les occupants actuels. hi; hi.hi;hi;hi............


JE PLAISANTE

Bonsoir , FLORIAN

Pour les bovins ,j'ai peut-être une idée; pendant l'occupation en 40/45 un maquignon exerçait dans le boulevard THIERS sur la droite en montant et avant la rampe qui relie le boulevard au RANG SENECHAL. C'est peut-être idiot mais je pense qu'il ètait dèjâ enexercice avant la seconde guerre.Il s'appellait M. Guinsbourg (excuse -moi pour la faute sur le nom je ne connais pas l'orthographe) ; enfin c'est un nom dans cette intonation . Je pense que la maison, avant les écuries qui donnaient directement dans le boulevard,devrait leur appartenir.Je crois qu'un de ses fils est devenu vétèrinaire .Maintenant ce ne pourrait être que les petits fils. Un de ses fils a environ mon age. Ce n'est qu'une idée, mais elle peut déboucher sur d'autres pistes puisqu'il achetait du bétail aux environs.Ce commerce fonctionnait encore dans les années 1960/1965 . Voilà ce que je sais.Ca n'empèche pas l'achat au èleveurs du coin si il y en avait . Jean-Pierre javascript:emoticonp(':avec%20drapeau:')

Bonjour Jean-Pierre, bonjour Florian,

Oui, il se peut que cela soit Kinsbourg. Il y avait aussi le maquignon Dokès qui, il me semble, avait des écuries près de l'hôpital (actuellement où se trouve la pizzéria). Là, il faudrait voir avec Marc Dokès qui réside 7, Place Jules Méline.
A ma connaissance, il y avait à cette époque la ferme Collenne située près de la caserne Marion. Les descendants y habitent encore aujourd'hui. Connaissant bien ces gens-là, je pourrais éventuellement leur demander. Qu'en penses-tu Florian ?

Bien amicalement,

Gaétane.